Après Berlin...
A deux pas du Panthéon, je reste scotché quelques instants devant cette oeuvre qui prend à mes yeux tout son sens après avoir constaté et visité cette Notre Dame, arpenté les pavés Parisiens...
Manger correctement ne coûte pas plus cher dans un restaurant de la Capitale que dans un restaurant Bordelais, sûr !!
Chouette de se réveiller avec le soleil, où que l'on soit...
Un joli et presqu'ordinaire comptoir Parisien, le serveur en tenue de serveur c'est à dire en pingouin noir et blanc avec le grand tablier, sympathique dans son rôle et restant à sa place... impeccable.
Le Professionnel qui t'apporte une soupe à l'oignon gratinée au fromage de Cantal avec le kil de Côtes du Rhône sans oublier le "voi-là M'sieur Dames... faites-vous plaisir, ça va vous réchauffer" ce n'est pas grand chose me diras-tu et pourtant ça nous a remis debout... droits dans nos bottes.
Totor a presque un air de Brassens, sur ce graffiti. Du soleil, ça manque un peu, par ici (mais il paraît qu'il revient).
RépondreSupprimerPeut-être, Bismarck peut-être... en tout cas il a un air d'un sage, d'un instruit qui pose calmement. Par chez nous il a plu comme quasiment partout mais j'avoue qu'en Bretonnie vous dégustez, si je puis m'exprimer ainsi...
SupprimerBleck
C'est qui le monsieur (Totor)? Ta soupe et ton verre de vin me semblent effectivement bien sympathiques! Marrant comme parfois si peu de choses peuvent faire autant de bien :)
RépondreSupprimerVictor Hugo...
SupprimerC'est à dire le Doc' que lorsqu'on possède l'essentiel et plus encore, un petit quelque chose, un détail, une envie, peuvent faire un plaisir indicible.
SupprimerEt franchement, un bon bol d'une bonne soupe bien chaude, un morceau de fromage et un verre d'un bon vin rouge... un must !
Bleck
@ - Quant à toi l'Anonyme, renseigner le Doc' ce n'est pas mal en soi, à priori. Seulement il aurait été un peu plus civil, plus agréable d'inclure ce nom de Victor Hugo dans une phrase explicative par exemple, plutôt que de lâcher ces points de suspension exprimant à mon sens ta suffisance agacée...
SupprimerVois-tu Anonyme, le Doc' peut ignorer le visage de l'écrivain ou l'avoir oublié, peut-être que le Doc' est un membre de la tribu Toléki du territoire Mambasa, imagine ce qu'il pourrait t'apprendre dans sa zone de confort à lui !
Bleck
Et vlan ! Dans la g****** de ce gougniafier ! Le Doc est une perle de culture dans tous les sens du terme , elle meritait haut la main que tu prennes sa défense ! Merci , cha fait un rude bien
SupprimerPoint de suffisance ou d'agacement. Juste une réponse à une question. Et le Doc sait qui est Victor Hugo.
SupprimerLa ponctuation n'est pas là pour la déco , elle a une signification .
Supprimer@ - Bon ok, ok... on va pas non plus sortir les sacs de sable et la mitrailleuse lourde... on va mettre ça sur le compte de la maladresse, on en fait tous des maladresses n'est-ce pas Anonyme ? Et si tu repasses par là, l'Anonyme sois aimable de signer ta prochaine participation tu verras, ça ne prend pas un temps fou...
Supprimer@ - Cinabre : Merci.
Bleck
:) Je vous adore tous :) Je connais Victor Hugo en effet, mais pas vraiment sa tête, je n'ai pas été élevée en France et ça fera 30 ans que j'ai quitté l'Europe en décembre, pour rejoindre le territoire Mambasa (plus communément appelé Amérique du Nord). Mais merci de m'avoir renseignée, Anonyme, et merci d'avoir pris ma défense, Bleck et Cinabre <3 De mon côté, si quelqu'un ne reconnaissait pas la tête de Gaston Miron, je serais tout aussi choquée! ((sur ce, je vais vite lire un des poèmes du gars pour vous impressionner en cas de questions!)
SupprimerRemarquable retour.
RépondreSupprimerGagnant, oui je l'assume retour gagnant !
SupprimerBleck
J'adore les pochoirs de C215! (je note, Victor Hugo, à coté du Panthéon)
RépondreSupprimerRue Soufflot, dos au Panthéon et sur le trottoir de droite et tu trouveras facilement cette peinture de C215, Anne. Au moment ou j'ai pris ce cliché une petite Asiatique toute menue tout sourire m'a demandé de la prendre (en photo... en photo) face à ce pochoir, il s'agissait d'une Chinoise elle débarquait tout juste de CDG et sa première visite était le Panthéon, elle était radieuse heureuse de visiter, de fouler le sol de Paris... Une visite en solitaire d'une semaine, une très jolie rencontre.
SupprimerBleck
Et vous comptez lire / relire « Notre-Dame de Paris » par Totor ou regarder / re-regarder la comédie musicale homonyme parce que vous préférer ça?
RépondreSupprimerJe devrais relire "Notre-Dame de Paris" je devrais le faire... Madame Chapeau.
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"Il en faut peu pour être heureux" comme le chante Baloo..... c'est vrai !
RépondreSupprimerCe n'est pas faux, en effet.
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Beau pochoir en effet !
RépondreSupprimerC215, excellent, nous avons eu l'occasion de voir une de ces "boites au lettres" c'est excellent !
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Ah ! Ce bon vieux Totor ! Mais, à part quelques poésies apprises à l'école, le lit-on encore ? J'espère.
RépondreSupprimerJe suis bien incapable de répondre à ta question Calyste.
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Ils ont encore des géraniums aux fenêtres à Paname ? Bon, comme le Docteur, je n'avais pas reconnu l'illustre, ni l'auteur du pochoir magnifique, mais j'ai lu et j'ai aussi reconnu le pavé parisien foulé pendant si longtemps !
RépondreSupprimerPlus précisément, chaque fenêtre de ce petit hôtel était fleuri de géraniums... oui et c'est "achement agréable.
SupprimerBleck
Je suis passée tous les jours devant "Totor" et le Panthéon depuis que je suis à Paris, jusqu'au 30 janvier avant de remonter la rue St Jacques jusqu'à Port Royal. Je n'ai guère vu le soleil depuis que je suis là, et hier c'était plus des trombes d'eau. Mais je suis entrée, très facilement dans Notre Dame hier, et j'ai été atterrée par la foule bruyante, les stands de vente d'objets souvenir, l'impossibilité de se recueillir, j'ai fuit ma disant qu'il faudrait que je revienne lors d'un office.
RépondreSupprimerValérie de Haute Savoie
Valérie, je n'ai pas retouché mes photos, le 23 janvier le ciel était bleu sur Paris et nous avons eu la chance de ne pas être perturbés par une foule bruyante, c'est un fait, mais il est évident également que nous ne sommes pas dans le même mental, avec ce qui t'arrives en ce moment et nous ne voyons sûrement pas les évènements de la même manière, à l'évidence.
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Les petits plaisir épicuriens que l'on peut s'offrir à Paris, quand on flâne le nez au vent...sans GPS, sans but précis...Se perdre dans les rues et entrer dans un resto quand on a faim et un peu froid.
RépondreSupprimerTu m'as donné envie d'y retourner.
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Le nez au vent dans une ville qui pue ?
SupprimerLara Clure
Vois-tu Célestine-Copine on peut aller loin, sur une belle plage ensoleillée ou bien dans le coeur d'une forêt, on peut aller se perdre dans l'exotisme et son dépaysement, mais fouler les pavés le long de la Seine remonter un boulevard et être saisi par une perspective Parisienne même si aujourd'hui je n'y vivrais plus eh bien, je suis saisi à chaque fois oui, j'adore.
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Pas besoin d'adopter un chien de garde, tu as Cinabre.
RépondreSupprimerLara Clure
Les mots sont souvent plus mordants .
SupprimerRien qu'un bon repas pour se requinquer !
RépondreSupprimerDisons daniel, que les plaisirs de la table représentent un intérêt certain pour moi, clairement.
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Après Berlin ? Ben rien, apparemment !
RépondreSupprimerOh que si Calyste, simplement pas de bloguite aiguë, et comme tu le sais, ça fait un bien fou.
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