Voici un tout petit blog avec de vrais gros morceaux à l'intérieur, entièrement réalisé à la main, garanti de bonnes intentions et additionné de jolies contradictions... N'hésites pas tu peux goûter, sans oublier de cracher les noyaux !!
Monsieur Dugland
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Non, je ne vais pas coller systématiquement ici la chronique du françois Morel, celle-ci j'étais obligé !
Certes il y a un procès, mais combien de secrets restent dans les alcôves, cette femme a beaucoup de cran d'avoir porté son histoire sur la scène publique. Pour la chronique, je ne suis pas sûre que Mr Dugland ait eu une quelconque prise de conscience une fois rentré chez lui... J'ai écouté, dans la semaine, l'émission sur les agences matrimoniales (=> https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/zoom-zoom-zen/zoom-zoom-zen-du-mardi-24-septembre-2024-6772721), et j'y ai appris qu'au tout début, les femmes qui se trouvaient dans leurs "catalogues" y étaient inscrites sans leur consentement, certaines par leur famille, d'autres par des rabatteurs rémunérés, on est bien loin de "la femme est l'avenir de l'homme" de Jean Ferrat...
Je ne commenterai que sur la chronique Agathe, je pense au contraire que Mr. Dugland peut avoir une prise de conscience une fois l'acte passé, simplement parce que trop d'hommes ne décident qu'au travers du peu qu'ils portent dans leur slip.
Ce que ne dit pas François Morel, c'est que ces fameuses séances d'éducation à la sexualité sont loin d'avoir toutes lieu... Mais j'ai l'impression, tout de même, que mes élèves sont plus au courant que M. Dugland. (Ce que dit Agatheb2k sur les débuts des agences matrimoniales me sidère. On pourrait parler de la notion de "devoir conjugal", aussi, qui a heureusement récemment disparu de la loi, je crois.)
Elle en a été, elle aussi, passablement sidérée, mais la première idée de recherche de "sa moitié" par affiche date de 1810, j'ai oublié le nom de l'inventeur. Par contre la seconde tentative a été la bonne en 1825 et on la doit à Mr Henri-Charles-Napoléon de Foy, voir ici => https://www.napoleon.org/magazine/revues-de-presse/lhistoire-n365-juin-2011-linvention-des-agences-matrimoniales/
Très bonne question, je viens de trouver ceci, si cela peut t'aider => https://www.tf1info.fr/education/est-ce-que-le-devoir-conjugal-existe-toujours-2294848.html
Une avocate qui se cherche des clients a aussi planché sur la question et elle cite les articles suivants des Codes Civil et Pénal : article 212 du Code civil, article 215 du Code civil , article 222-22 alinéa 2 Code pénal, ainsi que des références à la Convention européenne des droits de l'homme : article 4 CEDH et article 8 CEDH, c'est pour les ceux qui ont l'âme procédurière. Pour moi, la Justice n'est souvent qu'injustice, à fuir absolument si on le peut ! D'ailleurs le tarif de la photocopie chez un avocat est un signe !
Dans certaines religions, Madame, quand elle est vêtue, nourrie et logée, avec argent de poche pour ses faux frais doit toujours se soumettre à certaines obligations compensatoires... je lisais cela pas plus tard qu'hier, sur un site chelou qui je ne citerai pas, mais comme je n'ai pas trouvé ce qui se passait dans l'autre religion pour me faire ma propre idée, je dirai que c'était un comparatif à charge !
Mais peut-on rire de tout? D'après François Morel, Monsieur Pélicot est un peu maniaque, il demande à Monsieur Dugland de poser ses affaires sur une chaise. Peut-on rire de ça ici et maintenant juste après avoir lu et commenté l'éloge du vide-poche? Je me le demande.
Et bien moi Madame Chapeau ce que je me demande c'est comment et pour quelle raison tu fais le rapprochement entre mon éloge du vide-poche, mes propos et cette chronique ?? Maintenant, la maniaquerie de Monsieur Pélicot à l'adresse de Monsieur Dugland oui, elle m'a fait sourire, est-ce que rire d'une telle formule dans la bouche de françois Morel cautionne ou minimise les saloperies d'un Pélicot et d'un Dugland non, je ne le crois pas.
♦ Rien ne peut cautionner ce qu'ont fait Monsieur Pélicot et ses clients, ni ce qu'ont osé déclarer certains avocats de la défense. ♦ Ranger son brol dans un vide-poche ou ses vêtements sur une chaise, pour moi, ce sont des démarches similaires. ♦ Quand François Morel fait dire à son Monsieur Pélicot « je n'aime pas trop le bordel », son but est bien de nous faire sourire. ♦ Mon commentaire était inapproprié, je regrette de l'avoir posté.
Juste une remarque sur la chronique : une idée monte au cerveau de M. Dugland". elle a dû mettre longtemps avent de le trouver ! Et la suivante (aller au commissariat) n'y est pas parvenue, elle !
J'ai écouté la chronique en direct. Ce n'est nullement un sketch comique pour rire (ceci pour Madame Chapeau). C'est une chronique coup de poing dans la gueule d'un fictif Monsieur Dugland, pour qui le viol semble une pratique normale sur convocation d'un mari qui prostitue son épouse après l'avoir droguée. Paraît que c'est mieux que la taper pour qu'elle accepte. Et les Messieurs DuGland, ainsi que leurs avocats, considèrent tout cela comme parfaitement ordinaire. Le consentement ne sert à rien voyons ! Elles aiment ça, un peu de brutalité, bien des hommes le savent. Merci Monsieur Morel.
Cher AlainX, en fait, je ne parlais pas de la chronique de François Morel mais du billet publié ici le 26 septembre. Si mon commentaire n'était pas assez clair, vous m'en voyez désolée. Mme Chapeau.
Chère Madame Chapeau, c'est moi qui n'ai pas compris l'allusion et le lien avec un billet précédent… mais au final voilà qui est clair ! Et bon dimanche !
Histoire atroce ! Je l'ai entendue il y a longtemps dans un podcast raconté par la fille de la victime Caroline Darian qui a publié le livre " Et j'ai cessé de t'appeler papa ". J'ai entendu aussi un youtubeur révolté par l'attitude des avocats des Messieurs DuGland. Il disaient qu'ils devraient se contenter de contrôler que les droits des leurs clients soient respectés plutôt que d'essayer de salir la victime " elle bronze dans son jardin cela prouve des mœurs bizarres " ou d'inventer des fables " elle a ouvert la moitié d'un œil, cela prouve son consentement ". J'admire le courage de cette femme et comme elle le dit elle-même : je comprends que les femmes ne portent pas plainte !
Je te retourne le merci, Bleck, car tu récompenses le bel effort que j'ai fourni afin de ne heurter aucune des deux imbéciles avec 1 ou 2 n. Et aussi parce que ma réussite doit beaucoup à ce que j'ai pu observer chez toi, ta façon, disons courtoise, que tu as de traiter la plupart des commentaires, afin d'aplanir les choses et d'éviter les vagues.
J'ai écouté la chronique - merci de la relayer car je n'écoute pas France Inter - et hélas oui, l'Homme est un loup pour l'Homme - et surtout pour la Femme.
@Acanthe, tu peux t'abonner au podcast du billet de Morel sans écouter France Inter. C'est encore mieux qu'en vidéo parce que tu n'y auras pas les distractions comme les gens qui circulent dans le studio… et de toute façon c'est de la radio, alors la version filmée n'a pas d'intérêt. (J'aurais bien indiqué précisément l'adresse du podcat, mais Bleck n'aime pas les hyperliens, il n'en met jamais)
Re-bravo anonyme assumé-e (non, je n'ajouterai pas de copié/collé) et en plus tu respectes cette idée saugrenue mais bien mienne de ne pas adjoindre ici de lien hypertexte... re-merci.
(puis-je compter sur toi pour de prochaines réponses à de futurs commentaires ??)
Depuis trois jours nous utilisons ces toilettes sèches et artisanales (pas de séparateur liquide/solide, un seau en inox et basta) Nous avions testé auparavant ce système et à nouveau nous constatons le bien fondé d'un tel équipement. Mode d'emploi : tapisser le fond du seau d'une couche très légère de copeaux de bois, une fois la dépose organique réalisée couvrir de deux doses de copeaux, vider tous les trois, quatre jours. Aucune mauvaise odeur j'insiste, absolument aucune mauvaise odeur peut être un léger parfum de copeaux de bois, peut être... mais aucune mauvaise odeur ! Vivement que cette utilisation se généralise rapidement et que l'on utilise plus d'eau potable pour chasser nos déjections, dans nos sociétés modernes ce n'est qu'un poids de mauvaises habitudes et d'à priori à combattre.
Voilà très peu de temps, Gilsoub sur son joli blog affichait (ses lilas et) quelques peurs ordinaires... et vois-tu, je me suis senti quelque peu frustré d'être le seul commentaireux à déclarer que je ne connaissais pas la définition du mot "nyctalope" c'est pour cette raison lectrice, lecteur que j'aimerais que tu aies l'amabilité de me dire (sans avoir recours à une quelconque aide extérieure si toi, tu connais le sens de "nyctalope" ensuite tu pourras lire la suite de ce billet, je te remercie par avance de bien vouloir jouer. .../... .../... .../... Et comme je suis un peu tordu et puis qu'un rien m'amuse, je me suis fait mon petit radio-trottoir à moi tout seul, comme un grand : "...nyctalope, ça te dis quoi, comme ça au débotté ??" - Marcel, début de cinquantaine marchand de fruits et légumes : "comment tu dis ? nictalope... nike ta lope... ah, nyctalope... non, j'vois pas non... combien t'en veux de la Bintge p
L'autre jour nous utilisons un système de WC simple efficace et permettant d'économiser l'eau potable alors tout naturellement, j'en parle ici. Deux photographies, un texte exprimant la facilité d'utilisation et son bien fondé. J'essaie d'utiliser quelques termes clairs et simples je n'invente rien, je vulgarise sur ce sujet essentiel qu'est l'hygiène assortie à un confort minimum. En deux semaines, plus d'une centaine de commentaires et ça continue... Voilà un an ou deux, nous nous sommes équipés d'un système de brosse à toilettes qui nous a convaincu d'équiper nos deux WC malgré leur prix relativement élevé, sans vouloir me spécialiser dans les accessoires de nettoyage j'ai partagé mon expérience sur mon précédent blog, résultat, en deux mois plus de 200 commentaires. Je crois que nous sommes d'accord, je n'ai parlé que de matériel d'hygiène, évitant toute provocation malsaine eh bien non, ce n'est pas possible,
Certes il y a un procès, mais combien de secrets restent dans les alcôves, cette femme a beaucoup de cran d'avoir porté son histoire sur la scène publique. Pour la chronique, je ne suis pas sûre que Mr Dugland ait eu une quelconque prise de conscience une fois rentré chez lui...
RépondreSupprimerJ'ai écouté, dans la semaine, l'émission sur les agences matrimoniales (=> https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/zoom-zoom-zen/zoom-zoom-zen-du-mardi-24-septembre-2024-6772721), et j'y ai appris qu'au tout début, les femmes qui se trouvaient dans leurs "catalogues" y étaient inscrites sans leur consentement, certaines par leur famille, d'autres par des rabatteurs rémunérés, on est bien loin de "la femme est l'avenir de l'homme" de Jean Ferrat...
Je ne commenterai que sur la chronique Agathe, je pense au contraire que Mr. Dugland peut avoir une prise de conscience une fois l'acte passé, simplement parce que trop d'hommes ne décident qu'au travers du peu qu'ils portent dans leur slip.
SupprimerBleck
Ce que ne dit pas François Morel, c'est que ces fameuses séances d'éducation à la sexualité sont loin d'avoir toutes lieu... Mais j'ai l'impression, tout de même, que mes élèves sont plus au courant que M. Dugland.
RépondreSupprimer(Ce que dit Agatheb2k sur les débuts des agences matrimoniales me sidère. On pourrait parler de la notion de "devoir conjugal", aussi, qui a heureusement récemment disparu de la loi, je crois.)
Elle en a été, elle aussi, passablement sidérée, mais la première idée de recherche de "sa moitié" par affiche date de 1810, j'ai oublié le nom de l'inventeur. Par contre la seconde tentative a été la bonne en 1825 et on la doit à Mr Henri-Charles-Napoléon de Foy, voir ici => https://www.napoleon.org/magazine/revues-de-presse/lhistoire-n365-juin-2011-linvention-des-agences-matrimoniales/
SupprimerTu viens de m'apprendre Bismarck que "le devoir conjugal" a été inscrit dans la loi, alors je suis allé gougueuler... c'est fou.
SupprimerBleck
Très bonne question, je viens de trouver ceci, si cela peut t'aider => https://www.tf1info.fr/education/est-ce-que-le-devoir-conjugal-existe-toujours-2294848.html
SupprimerUne avocate qui se cherche des clients a aussi planché sur la question et elle cite les articles suivants des Codes Civil et Pénal : article 212 du Code civil, article 215 du Code civil , article 222-22 alinéa 2 Code pénal, ainsi que des références à la Convention européenne des droits de l'homme : article 4 CEDH et article 8 CEDH, c'est pour les ceux qui ont l'âme procédurière. Pour moi, la Justice n'est souvent qu'injustice, à fuir absolument si on le peut ! D'ailleurs le tarif de la photocopie chez un avocat est un signe !
Dans certaines religions, Madame, quand elle est vêtue, nourrie et logée, avec argent de poche pour ses faux frais doit toujours se soumettre à certaines obligations compensatoires... je lisais cela pas plus tard qu'hier, sur un site chelou qui je ne citerai pas, mais comme je n'ai pas trouvé ce qui se passait dans l'autre religion pour me faire ma propre idée, je dirai que c'était un comparatif à charge !
Mais peut-on rire de tout?
RépondreSupprimerD'après François Morel, Monsieur Pélicot est un peu maniaque, il demande à Monsieur Dugland de poser ses affaires sur une chaise. Peut-on rire de ça ici et maintenant juste après avoir lu et commenté l'éloge du vide-poche?
Je me le demande.
Et bien moi Madame Chapeau ce que je me demande c'est comment et pour quelle raison tu fais le rapprochement entre mon éloge du vide-poche, mes propos et cette chronique ??
SupprimerMaintenant, la maniaquerie de Monsieur Pélicot à l'adresse de Monsieur Dugland oui, elle m'a fait sourire, est-ce que rire d'une telle formule dans la bouche de françois Morel cautionne ou minimise les saloperies d'un Pélicot et d'un Dugland non, je ne le crois pas.
Bleck
♦ Rien ne peut cautionner ce qu'ont fait Monsieur Pélicot et ses clients, ni ce qu'ont osé déclarer certains avocats de la défense.
Supprimer♦ Ranger son brol dans un vide-poche ou ses vêtements sur une chaise, pour moi, ce sont des démarches similaires.
♦ Quand François Morel fait dire à son Monsieur Pélicot « je n'aime pas trop le bordel », son but est bien de nous faire sourire.
♦ Mon commentaire était inapproprié, je regrette de l'avoir posté.
Juste une remarque sur la chronique : une idée monte au cerveau de M. Dugland". elle a dû mettre longtemps avent de le trouver ! Et la suivante (aller au commissariat) n'y est pas parvenue, elle !
RépondreSupprimerLa motivation Calyste ! c'est juste que ce n'est pas la même motivation...
SupprimerBleck
J'ai écouté la chronique en direct. Ce n'est nullement un sketch comique pour rire (ceci pour Madame Chapeau). C'est une chronique coup de poing dans la gueule d'un fictif Monsieur Dugland, pour qui le viol semble une pratique normale sur convocation d'un mari qui prostitue son épouse après l'avoir droguée. Paraît que c'est mieux que la taper pour qu'elle accepte.
RépondreSupprimerEt les Messieurs DuGland, ainsi que leurs avocats, considèrent tout cela comme parfaitement ordinaire. Le consentement ne sert à rien voyons ! Elles aiment ça, un peu de brutalité, bien des hommes le savent.
Merci Monsieur Morel.
Cher AlainX, en fait, je ne parlais pas de la chronique de François Morel mais du billet publié ici le 26 septembre.
SupprimerSi mon commentaire n'était pas assez clair, vous m'en voyez désolée.
Mme Chapeau.
Mme Chapeau, je suis allé voir le billet du 26 septembre… Monsieur Dugland a pu dire en rentrant chez lui "bonsoir ma petite bonne-femme".
SupprimerChère Madame Chapeau, c'est moi qui n'ai pas compris l'allusion et le lien avec un billet précédent…
Supprimermais au final voilà qui est clair ! Et bon dimanche !
@ AlainX, je n'ajouterai rien d'autre au com' que j'ai adressé à Madame Chapeau un peu plus haut.
SupprimerBleck
Histoire atroce ! Je l'ai entendue il y a longtemps dans un podcast raconté par la fille de la victime Caroline Darian qui a publié le livre " Et j'ai cessé de t'appeler papa ".
RépondreSupprimerJ'ai entendu aussi un youtubeur révolté par l'attitude des avocats des Messieurs DuGland. Il disaient qu'ils devraient se contenter de contrôler que les droits des leurs clients soient respectés plutôt que d'essayer de salir la victime " elle bronze dans son jardin cela prouve des mœurs bizarres " ou d'inventer des fables " elle a ouvert la moitié d'un œil, cela prouve son consentement ".
J'admire le courage de cette femme et comme elle le dit elle-même : je comprends que les femmes ne portent pas plainte !
C'est ça Louisianne des histoires ahurissantes mais bien réelles... folies, saloperies humaines.
SupprimerBleck
Et tant que je suis là, je n'ai pas commenté sur le " us et coutumes " à part le dernier message ce matin ;)
RépondreSupprimersigné : la vraie Louisianne
Il n'y a aucune confusion possible entre Louisiane (avec un n) et Louisianne (avec 2 n) : c'est pas le même épanchement !
SupprimerBravo anonyme assumé-e, je n'aurais pas écrit mieux et merci.
SupprimerBleck
Je te retourne le merci, Bleck, car tu récompenses le bel effort que j'ai fourni afin de ne heurter aucune des deux imbéciles avec 1 ou 2 n. Et aussi parce que ma réussite doit beaucoup à ce que j'ai pu observer chez toi, ta façon, disons courtoise, que tu as de traiter la plupart des commentaires, afin d'aplanir les choses et d'éviter les vagues.
SupprimerJ'ai écouté la chronique - merci de la relayer car je n'écoute pas France Inter - et hélas oui, l'Homme est un loup pour l'Homme - et surtout pour la Femme.
RépondreSupprimer@Acanthe, tu peux t'abonner au podcast du billet de Morel sans écouter France Inter. C'est encore mieux qu'en vidéo parce que tu n'y auras pas les distractions comme les gens qui circulent dans le studio… et de toute façon c'est de la radio, alors la version filmée n'a pas d'intérêt. (J'aurais bien indiqué précisément l'adresse du podcat, mais Bleck n'aime pas les hyperliens, il n'en met jamais)
SupprimerRe-bravo anonyme assumé-e (non, je n'ajouterai pas de copié/collé) et en plus tu respectes cette idée saugrenue mais bien mienne de ne pas adjoindre ici de lien hypertexte... re-merci.
Supprimer(puis-je compter sur toi pour de prochaines réponses à de futurs commentaires ??)
Bleck