Plong, et pas plouf...
Depuis trois jours nous utilisons ces toilettes sèches et artisanales (pas de séparateur liquide/solide, un seau en inox et basta) Nous avions testé auparavant ce système et à nouveau nous constatons le bien fondé d'un tel équipement. Mode d'emploi : tapisser le fond du seau d'une couche très légère de copeaux de bois, une fois la dépose organique réalisée couvrir de deux doses de copeaux, vider tous les trois, quatre jours. Aucune mauvaise odeur j'insiste, absolument aucune mauvaise odeur peut être un léger parfum de copeaux de bois, peut être... mais aucune mauvaise odeur ! Vivement que cette utilisation se généralise rapidement et que l'on utilise plus d'eau potable pour chasser nos déjections, dans nos sociétés modernes ce n'est qu'un poids de mauvaises habitudes et d'à priori à combattre.
Mais bon sens, mais c’est bien sûr …
RépondreSupprimerÀ mon sens... oui !
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Complètement à l'Ouest, mais pas fou.
RépondreSupprimerNon, il n'est pas nécessaire d'être fou pour être complètement à l'Ouest (et inversement)
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A l'ouest on savoure le moment.
RépondreSupprimerPartageons-donc avec les Estiens...
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Pardon, mais je crois bien être encore plus à l'ouest (géographiquement parlant). Néanmoins, rien ne peut être plus à l'ouest que ce soleil couchant au milieu des nuages.
RépondreSupprimerProf un jour, prof toujours, tonnerre de Brest.
SupprimerMme Chapeau qui, ce matin, avait hésité entre Tryphon Tournesol et Archibald Haddock.
Tu es pardonnée Bismarck... si !! J'ai posté ce billet à la "fénéante" hier ou pour compenser des billets parfois trop longs en écriture, pour tenter de réaliser une moyenne quoi...
SupprimerCette semaine nous avons eu un temps relativement exécrable avec un plafond très bas et soudain en fin de journée une éclaircie... nous nous sommes regardés la femme que j'aime et moi et sans un mot on a pris la voiture direction la plage Océane la plus proche de la maison (10 kilomètres) et plein Ouest... on est arrivés juste au coucher du soleil et nous étions seuls avec le vent qui nous sautait à la gueule et ça nous a fait un bien fou de marcher le long de ces vagues montantes qui n'ont rien à foutre de rien... nous étions bien, complètement à l'Ouest.
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joli !!!
RépondreSupprimerAvec un tel sujet, tout est sublimé.
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Je rêve de visiter ces lieux de l'ouest (mais pas complètement, comme le rappelle Bismarck) de la France :)
RépondreSupprimerC'est bien (et qui es-tu ?)
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Grrr, c'est moi, je sais pas pourquoi ton blog ne m'a pas enregistrée!
SupprimerGrrr (allez, en coeur tous les deux) Grrr !!!
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De là où je suis, je ne risquais pas de le voir ! ....
RépondreSupprimerC'est pourtant exactement, ce que tu viens de faire !!
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Ça donne envie. J'ai toujours cette envie de plage déserte et de coucher de soleil venté sur une mer sublime en hiver... Merci de m'avoir fait rêver.
RépondreSupprimerJ'ai aussi apprécié ta réponse à Bismark, et ce côté spontané que j'adore : on se regarde et hop, on y va, sans hésiter, parce que la vie c'est ça, si on commence à hésiter on fait plus rien et c'est se priver de beau, je dirais même de superbe. La magie de la vie, quoi.
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Absolument aucun mérite je ne suis que spontané. Sais pas trop ce que c'est qu'un plan, mes rendez-vous ne sont que médicaux, le reste c'est au débotté ou ce n'est pas.
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Ciel ! Des nuages en pétard, un peu comme des cheveux au réveil ! C'est un instantané joli, pas le café, plutôt comme Émilie !
RépondreSupprimerComme tu le dis Acanthe surtout pas un café instantané... d'ailleurs, on a le temps !
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"Se comprendre d'un regard , penser à la même chose, se diriger vers un endroit aussi romantique et déguster un moment sublime " on pourrait être envieux pour moins que ça !! Y a mon petit côté fleur bleue qui ressurgit .....
RépondreSupprimerVrai, qu'il y a du romantisme là-dedans Cinabre, bien sûr... et puis la fleur bleue ne la laissons pas s'échapper.
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Le Grand Crohot, et la petite route qui y mène... :-)
RépondreSupprimerTout à fait ça, quitter le bourg de Lège à angle droit une petite zone artisanale avec deux ou trois trucs d'intérêt et puis la jolie route qui serpente entre les pins, grimpe une dune en dégringole une autre et puis arriver sur le grand parking quasi vide en cette période... zapper la doudoune et utiliser la voie verte bordée par les pins, un dernier raidillon et l'océan t'avale de toute sa puissance... être seul là à la nuit tombante à quelque chose de très impressionnant... nous avons déjà évoqué ici cette petite route, Acanthe je me souviens que tu aimes !
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J'aime bien être à l'ouest !
RépondreSupprimerEt moi donc ! Crois-moi Daniel, je n'ai pas besoin de subterfuges pour être dans ce "coton" pour planer gentiment, un si pur détachement...
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C'est vrai.
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