Observations & Morceaux Choisis...

 Dix ans que je n'étais pas revenu à Béziers, nous avons passé deux jours et une nuit à Béziers... la ville à changé. Béziers est une ville absolument superbe, j'avais mes habitudes dans une petit chambre sous les toits à l'Hôtel des Poètes juste à l'extrémité des allées paul Riquet le parc en dessous est magnifique mais alors la ville était très sale, les commerces fermés et tous les emplacements commerciaux à vendre, la circulation et le stationnement automobile totalement anarchique et le centre ville était totalement déserté à 19 heures tapantes. Nous avons visité Béziers pendant deux jours le centre ville c'est nettement amélioré, mais il est tout à fait possible que je n'aie pas le droit de l'écrire parce que le maire de la ville est populiste.

 A cause du vent et du froid glacial du moment, il nous faut être branchés à l'électricité afin d'être plus confortables, le matin au réveil... Alors, pas de spots de rêve lors de ce périple mais le choix d'aires de CCar payantes et qui dit aire de CCar dit en règle générale promiscuité et il faut bien le reconnaître beauferies à gogo. Attention, c'est la règle nous le savons mieux, nous sommes bien contents de trouver sur nos routes ces structures où pour quelques Euros nous faisons le plein d'eau et faisons nos vidanges. Mais alors, cette semaine nous avons atteint des sommets de mauvais goût, imagines-toi le long d'un de ces canaux sur les terres Sud Languedocienne un ou deux hectares de bitume entourés d'une clôture... un grand parking posé à la limite d'une commune littorale de béton quasi-vide de tout habitant à cette saison et cent vingt CCars en rangs d'oignons... une caricature, un tue-l'amour, le repoussoir à tout envie de prendre la ro

  Quatre jours en Charente Maritime et donc quasiment aux portes de la maison, quatre jours pour se caler pour reprendre les habitudes, se remémorer les bons gestes, régler le chauffage un peu récalcitrant, garer nos vélos électriques dans la soute sans se faire mal sans abîmer le matériel et sans que ça prenne trop de temps, resserrer des trucs et des machins, régler le lit au-dessus du poste de pilotage, assainir le tank à eau claire etc... quatre jours...  Et puis nous sommes retournés à la maison, nous avions prévu depuis plusieurs semaines de garder notre petite fille de deux ans pendant cinq jours sur le coup ses parents sont venus passer la fin de semaine et puis nos enfants habitant l'Ariège se sont greffés sur le ouikend et ils ont prolongé le séjour avec leur petite qui a tout juste un an... si elles sont mignonnes nos petites, me demandes-tu ?? Adorables, nos deux petites filles sont absolument adorables quand elles ont dormi, quelles sont rassasiées, que leurs couches a

 Cruel, excessif, animalier, dégueulasse, cynique et opportuniste, sanglant, immoral, Franchouillard et un peu Iranien, activiste, débile et franchement méchant, plus dérangeant qu'étrange, tapageur et poisseux. Nous avons vu récemment "Barbaque" un film de, et avec Fabrice Eboué et Marina Foïs et nous avons beaucoup ri.

Etre père de famille ce n'est pas tous les jours des fraises à la crème fraîche, quant à être mère de famille rien que d'y penser, je souffre. (l'autre jour, c'est à dire l'autre jour, sur le blog d'un copiblogateur qui se reconnaîtra et commentera si ça lui sied, j'abondais dans son sens sur un sujet qu i nous est cher...  même qu'il me suggérait d'en faire un billet ici même) Jamais je n'ai reçu de gifle, pas de martinet à la maison, je ne me souviens pas que l'on m'ait privé de dessert ou menacé de me mettre à la cave avec ou sans lumière... Dire que j'ai vécu une enfance heureuse est la moindre des choses. Maman n'était pas salariée dans une boite quelconque, elle tenait la maison, nous élevait et elle aidait dans son commerce Yvonne, sa soeur, mais sans jour fixe de travail sans vraiment d'horaires, elle n'était pas déclarée... du black, Yvonne était généreuse au magasin où j'étais souvent, où j'ai beaucoup ap

  Ma pochetée de monnaie... j'insiste et je résiste mais je tiens, nous tenons à régler nos dépenses courantes, c'est à dire hors les frais généraux qui sont eux mensualisés et prélevés en banque, quasiment tout le reste est payé en cash. Maintenant, je tends un billet de cinquante Euros et ça surprend, parfois carrément ça désoblige, la tronche du commerçant se fige "... ah mais c'est que j'ai pas la monnaie..." tu règles un gigot à 38 Euros avec 50 Euros  mais faudrait pour Monsieur sortir la CB, le Aïllfone, à l'extrême limite le chéquos ! Je suis navré Monsieur, mais je n'ai que des espèces,  alors qu'est-ce qu'on fait ? et Monsieur maugrée si, il maugrée le Monsieur. Chez nos commerçants habituels j'ai remarqué que depuis peu, tellement habitués à ne plus rendre de monnaie qu'ils arrondissent en ma faveur jusqu'à cinquante centimes d'Euros, veulent plus s'emmerder et moi, je leur dis merci ! Avec mes bifetons et ma poch

 Nous avons récupéré enfin notre "Raymond" après un an et demi de galères mécaniques. (non, je ne possède pas de drone ou de trépied télescopique, un simple escabeau me suffit) Voilà, il est sur notre parking, après avoir dépensé une belle somme d'argent pour le remplacement du moteur sous échange standard + le turbo + l'alternateur. Ça nous a coûté une certaine débauche d'énergie, beaucoup de frustration et le constat d'un niveau de mauvaise foi de la part de certains professionnels qu'à notre niveau personnel nous n'avions absolument jamais connu auparavant.  Je tente de résumer : les premiers six mois ont été consacrés à la réparation carrosserie d'un choc frontal avec un pneu, ce fut long, mais ça ne nous a pas occasionné de perte financière.  Suite à ça un grave souci mécanique "ah ben, faut remplacer le moteur" J'ai toqué à la porte de 4 garages Girondins dont trois qui n'ont pas voulu proposer un diagnostic, j'ai pris l